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La santé pour tous !

Selon les professionnels de la santé mentale, vers la trentaine, leurs patients ont souvent peur de finir seuls. Cette inquiétude est fréquente chez les 25-35 ans, et pousse les personnes de cette tranche d’âge à se demander ce qui ne tourne pas rond chez elles, indique Deborah Duley, psychothérapeute et fondatrice d’Empowered Connections, dans le Maryland.

 “Il existe une croyance profondément enracinée dans notre culture : si une personne est célibataire, c’est parce qu’elle ne se comporte pas comme il faut et que cela a des conséquences sur sa vie sentimentale”, précise la spécialiste. “J’entends tellement de remarques négatives comme : ‘Je ne suis pas assez bien’ ou ‘Je ne suis pas le genre de fille avec qui les garçons veulent s’impliquer’”!

Deborah Duley met en garde ses clientes contre cette tendance à l’autoflagellation. “On devrait respecter le célibat, car c’est souvent pendant les périodes de solitude qu’on découvre qui l’on est vraiment, ce qu’on veut dans la vie et ce qui nous passionne”, dit-elle. “Or c’est justement ce qui nous rend plus attirants et nous donne plus d’assurance.”

Mais comment s’en convaincre quand notre angoisse de rester seul(e) atteint son apogée? Ci-dessous, Deborah Duley et d’autres thérapeutes partagent quelques-uns des conseils qu’ils donnent à leurs clients, inquiets à l’idée de finir célibataires :

  • Investissez-vous dans vos relations amicales
  • Résistez à la tentation de prédire l’avenir
  • Ne renoncez pas aux premiers rendez-vous
  • Rejoignez des groupes de gens qui ont les mêmes centres d’intérêt que vous
  • Ne cédez pas à la pression socioculturelle qui vous enjoint d’être en couple

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